Histoire

La plupart des personnes portant le patronyme de LEBEL en terre d'Amérique détiennent celui-ci d'un ancêtre unique et commun: Nicolas LEBEL

(D'après une illustration gracieusement fournie par feu le R.P. Gérard Lebel, C.Ss.R.)

Curieux de le connaître? Voici son histoire :

(pour l'histoire de l'association, cliquez ici)

Nicolas Lebel
Nicolas à Château-Richer | À l'œuvre et à l'épreuve | Reconstruction | La Pocatière


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Nicolas LEBEL, notre ancêtre


par Gérard Lebel, C.Ss.R.

(article déjà paru dans la Revue Ste-Anne, juillet-août 1992)


Depuis un siècle, les descendants de Nicolas Lebel essaient de préciser le nom du patelin qui l’a vu naître entre 1630 et 1632 selon nos recensements canadiens. Mgr Cyprien Tanguay écrivait en 1871 que Nicolas était natif de Dynille, évêché de Rouen. À son contrat de mariage passé devant Auber le 29 mars 1665, Nicolas, fils de Clément Lebel et de Françoise Lagnel, avait affirmé : " Hilleville archevêché de Rouen". Était-ce Illeville-sur-Seine, comme plusieurs l’affirmèrent ? Émile Vaillancourt, dès 1930, apporta un éclairage plus précis, sans identifier ses sources : Illeville-sur-Montfort, dans le département actuel de l’Eure, en Normandie.

La recherche était bloquée là depuis 50 ans. Il y a quelques mois, le docteur Robert-Roger Lebel, du Wisconsin m’a fait part de la découverte faite par un lointain cousin Irénée Lebel. Dans l’espoir de trouver l’acte de mariage des parents de l’ancêtre et son acte de baptême, ce dernier passa au crible les registres d’Illeville-sur-Montfort à partir de 1586. Les noms de plusieurs porteurs du patronyme LEBEL apparurent sans donner la réponse attendue.

Cependant, une faible lumière, une seule, a jailli, mais combien réjouissante.  " Le 7e de septembre dedit an a este baptisé Colette Le Bel fille de Clément et de Françoise Lagnel. Les parr(ain) et marr(aine) Mathieu Bosmont et Mary Lagnel ". L’acte précieux est consigné en l’année 1622. Nous sommes en présence d’une sœur de notre ancêtre Nicolas. C’est donc à Illeville-sur-Montfort que le premier de la majorité des LEBEL canadiens a vécu avant de venir en Amérique.

Une autre lumière apporta des précisions sur la famille de notre ancêtre Nicolas Lebel. En effet, le Révérend Père Guy A. Le Bel, S.M. de Framingham au Massachusetts, États-Unis, demande à son confrère, le R.P. Jean Chevillard de la Communauté Mariste de Fourvière à Lyon, de faire des recherches plus soutenues dans la région d’Illeville-sur-Montfort, département de l’Eure. En plus d’y retrouver Colette, il lui découvre une sœur aînée nommée Marguerite Lebel, fille de Clément et de Françoise Lagnel et baptisée le 16 février 1620. Ses parrain et marraine sont Simon Gosseaume et Marguerite Gosseaume. Donc Nicolas a deux sœurs et Illeville-sur-Montfort semble l’endroit où Nicolas a vécu.

La commune d’Illeville est située près de la célèbre forêt de Montfort. Sur son territoire, l’éminence dénommée le Vieux-Montfort n’est autre que la motte féodale qui supportait le château, vestige caché d’un passé glorieux. Après la Révolution française, Montfort-sur-Risle, au sud-est, est devenue son chef-lieu de canton dans l’arrondissement actuel de Bernay. Après avoir traversé l’Orne et l’Eure, la rivière Risle se jette dans la Seine à son embouchure. Telle est la région normande qu’a connue Nicolas Lebel sous le règne de Louis XIII et la régence de Louis XIV.

Note: Il y a environ 16 kilomètres entre Yville-sur-Seine et Illeville-sur-Monfort en passant par la route de Bosgouet.

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Nicolas à Château-Richer


Nicolas Lebel quitta-t-il son pays par le port le plus proche, Honfleur ? Ou celui du Havre? Ce sont là de pures hypothèses. S’engagea-t-il pour le compte de Pierre Gagnon ou de Jean Cochon ? Ce qui suit le laisse entendre.

Dimanche le 13 mai 1657, Nicolas apparaît pour la première fois dans nos archives civiles. À Château-Richer, à la maison de Pierre Gagnon, le notaire Audouart, les témoins Nicolas Vérieul et Claude Auber entourent l’ami Lebel. Il sera l’un des leurs à la côte de Beaupré, puisque le maître de la maison veut bien lui donner à " fin d’héritage " un demi-arpent de front de terre qu’il distrait de sa propre ferme. Le concessionnaire Lebel s’engagea à bâtir son foyer dans un an et à y travailler dès l’automne qui vient.
Bien plus, à la même heure, Jean Cochon (Cauchon), fils, appelé Le Jeune, plus généreux encore, fait cadeau de deux arpents de terre de front sur une lieue et demie de profondeur, voisin du demi-arpent tout frais concédé. Les conditions sont les mêmes. Nicolas Lebel paiera annuellement à Cauchon 42 sols et 1 chapon pour les rentes et cens dus aux seigneurs de Beaupré. Il ne pourra vendre à d’autres habitants sans la permission des premiers propriétaires, etc.

Pourquoi Gagnon et Cauchon, vieux habitants de la côte, furent-ils si magnanimes? Sans doute, parce que l’immigrant était gentil, travailleur et sans prétention. Ils l’appréciaient et voulaient faire de lui leur excellent voisin. Le cas est unique dans nos annales à cette époque. Nicolas avait sans doute travaillé pour ces deux bienfaiteurs depuis plus de deux ans. Nous pouvons presque conclure qu’il arriva en Nouvelle-France à l’été de 1654.

Nicolas Lebel se mit à l’œuvre sur sa terre de Château-Richer, située entre les voisins et amis Gagnon et Cauchon. Sa propriété se trouve aujourd’hui à peu près à 22 arpents à l’est de la rivière du Sault-à-la-Puce, au numéro 8736 (?), sur le Chemin du Roi.

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À l’œuvre et à l’épreuve


À l’hiver 1660, le zélé missionnaire Thomas Morel organisa une célèbre cérémonie de Confirmation à Château-Richer. Mgr de Laval se rendit, probablement en raquettes, à la petite église de campagne où le 2 février, jour de la Chandeleur, 173 confirmands, dont Nicolas Lebel, se présentèrent endimanchés.

Après plusieurs années de préparation, Nicolas pouvait songer à fonder son foyer. Les filles à marier étaient rarissimes. Près de la Rivière-aux-Chiens vivait une digne famille, celle de Robert Drouin et de Marie Chapelier. Nicolas fréquenta Marie. La fillette avait été baptisée à Trois-Rivières, le 18 septembre 1650. Le 27 septembre 1662, le notaire Claude Aubert se rendit à la maison Drouin pour parafer la convention matrimoniale de Nicolas et de Marie. Les parents promirent à leur fille aînée de lui faire un cadeau de 100 livres en espèces, d’une vache à lait, de quelques habits et de la vaisselle. Nicolas offrit un douaire généreux : 400 livres. Les témoins nombreux se nommaient: Étienne Racine, François Bélanger, Pierre Maheu, Romain Trépanier, Nicolas Quentin, etc.

Le lendemain, mercredi 28 novembre, la bénédiction nuptiale fut donnée par l’abbé Thomas Morel à l’église de Château-Richer. François Bélanger signa avec parafe comme témoin.

NOTE: D’après la loi française du temps, les filles sont nubiles à l’âge de 15 ans et la petite Marie avait 12 ans et 2 mois à son mariage !

L’année 1663 fut marquée par un tremblement de terre d’une magnitude plus grande que celle que nous avons connue le 25 novembre 1988. Selon le Journal des Jésuites, la secousse dura l’espace de 2 miserere, le 5 février, à partir de 5 1/2 heures du soir. Toute la Nouvelle-France en subit le choc, en particulier la côte de Beaupré. Diverses secousses se répétèrent jusqu’au 15 mars.

L’épreuve suprême fondit sur le foyer Lebel, le vendredi 2 mai 1664. Marie Drouin avait probablement passé la nuit chez ses parents, près de la Rivière-aux-Chiens. Tôt le matin, je pense, en compagnie de sa mère ou d’une de ses soeurs, elle se dirige vers l’église de Sainte-Anne du Petit-Cap pour venir y entendre la Sainte Messe, le jour St-Jacques et St-Philippe et dans l’intention de faire ses dévotions. Catastrophe! Elle tomba dans l’eau glacée de la Rivière-aux-Chiens et s’y noya. Grand émoi sur la côte! Le curé Morel, ému, écrivit dans le registre de Château-Richer: " ... je luy ay donné la sépulture au nombre des chrétiennes et enfants de l’Église... ".

En une seule journée, l’ancêtre Lebel avait vu crouler tous ses rêves comme un château de cartes.

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Reconstruction


Il fallait refaire ce que l’onde avait emporté : un avenir. Le veuf Nicolas Lebel se tourna vers l’Ouest et traversa la rivière du Sault Montmorency. Il s’arrêta à Beauport. Là, il découvrit l’honorable famille de Jean Mignault, dit Châtillon, et de Louise Cloutier. Huit enfants bien vivants animaient alors ce foyer heureux. L’aînée des filles, 14 ans, tomba dans l’œil de Nicolas. Thérèse avait été baptisée à Québec, le 15 septembre 1651, par le jésuite Joseph Poncet. Elle avait même fréquenté pendant quelque temps le couvent des Ursulines de Québec.

De fil en aiguille, le tissu de leurs amours s’agrandit. Le dimanche 29 mars 1665, ce fut la rédaction solennelle de leur contrat de mariage à la maison de l’oncle Jean Cloutier, habitant de Château-Richer. Une grande réunion de la parenté Mignault et des amis avait été convoquée. Le notaire Claude Auber la présidait. Pierre Gagnon et Jean Cauchon appuyaient le futur époux. Les Mignault firent cadeau de 150 livres aux futurs mariés sans compter la robe de noces, les linges, la vaisselle et autres ustensiles. Au bas du contrat, Nicolas fit sa marque: un X à l’intérieur d’un cercle; Thérèse dessina un cœur ou une pomme avec son pédoncule.

Note: La jeune Thérèse avait 14 ans et 6 mois à son mariage.

Nicolas, laboureur, et Thérèse avaient fait publier leurs trois bans de mariage. Le 2 avril 1665, ce fut la bénédiction nuptiale à Château-Richer devant les parents, les amis et l’abbé Morel. Le foyer Lebel semblait promis à un avenir généreux.

Les recenseurs de l’année 1667 rapportèrent que Nicolas Lebel, 35 ans et Thérèse Mignault, 16 ans, possédaient une bête à cornes et 8 arpents de terre en culture. Ce n’était pas le pactole où roulaient les paillettes d’or ... Nicolas avait ses trucs personnels pour gagner sa vie.

Le 29 décembre 1668, l’ancêtre rétrocède à Pierre Gagnon le demi-arpent de terre qu’il avait reçu de lui 11 ans plus tôt. Pour cette remise volontaire, Gagnon versera 100 livres de principal et 10 livres  " pour bien et espingles delad. femme " Thérèse Mignault. De plus, il laissa aux Lebel la partie de terrain où était construite leur maison, c’est-à-dire l’espace entre le Nord-Ouest du Chemin Royal et le haut du premier coteau, sur une largeur de 5 perches, un demi-arpent. À cette époque, le berceau du couple Lebel était toujours vide.

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La Pocatière


Vers 1675, plusieurs gens de la côte de Beaupré, de Beauport et de l’île d’Orléans s’établirent sur la Rive-Sud. Les régions de Rivière-Ouelle et de la Grande-Anse exerçaient un attrait spécial : terres fertiles, forêts giboyeuses, rivière et fleuve poissonneux, concessions disponibles nombreuses. À la même époque, le beau-père Jean Mignault et ses 3 gendres Pelletier, Grondin et Lizot émigrèrent à La Pocatière.

Nicolas Lebel, peut-être en même temps que ses beaux-frères, obtint une concession à cet endroit, le lot 18, 4 arpents de terre de front sur 42 de profondeur, terrain sur lequel s’élèverait un jour le Collège de Sainte-Anne. Mais avant de déménager, il fallait vendre à bon prix la propriété de Château-Richer.

Le 30 septembre 1676, Pierre Gagnon achetait le bien Lebel avec maison, grange et 15 arpents de terre nette. L’acheteur déboursa immédiatement 500 livres des 800 promises. Cependant, le vendeur se réserva le droit de demeurer  " avec sa famille et bestiaux sur lad. habitation jusques a la feste de la pentecoste de l’an prochain " La vente fut signée par le notaire Becquet à la salle du Séminaire de Québec.

Au printemps de 1677, la famille Lebel se transporta à La Pocatière. En voici la preuve: Joseph Lebel, fils de Nicolas et de Thérèse, naissait à la Grande-Anse le 3 juillet. L’abbé Thomas Morel baptisa l’enfant le 9 du même mois sans mentionner, il est vrai, le domicile des parents. Mais, les parrain et marraine du bébé étaient des personnes de l’endroit : Thomas Langlois et Madeleine Mignault, femme de Noël Pelletier.

Nicolas et Thérèse n’eurent que 4 enfants: Jean, Angélique, Nicolas et Joseph. Les 3 premiers naquirent à Château-Richer; le dernier, à La Pocatière. Tous parvinrent à l’âge adulte, fondèrent un foyer et possèdent une descendance respectable.

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Jean, le filleul de Jean Cloutier et de Barbe Fortin, fut présenté sur les fonts baptismaux, le 23 janvier 1670. Le 16 août 1689, à Rivière-Ouelle, il épousait Anne Soucy, fille de Jean et de Jeanne Sauvenier. Quatre de leurs cinq enfants se marièrent.

Jean fut inhumé à Rivière-Ouelle, le 6 octobre 1699. Anne Soucy se remaria le 24 novembre 1704 avec l’ancêtre Jacques Bois et lui donna 8 enfants à aimer.

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L’unique fille, Angélique, reçut le baptême le 10 novembre 1672, en présence de ses parrain et marraine Joseph Gagnon et Marguerite Cloutier. Elle donna son cœur à Mathurin Ouellet, le 8 janvier 1691. Mathurin était le fils de René et d'Anne Rivet. Leur huitaine d’enfants fut élevée à Rivière-Ouelle.

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L’abbé Fillion baptisa Nicolas II le 12 mai 1675. À l’âge de 32 ans, Nicolas épousa Marie-Madeleine Michaud, fille de l’ancêtre Pierre et de Marie Ancelin. Le couple vécut à Kamouraska où il eu 5 rejetons connus et qui firent souche.

Nicolas II décéda avant le 5 septembre 1722, jour où sa veuve convolait avec Jean-Baptiste Roy, dit Desjardins. Le fils Jean-Baptiste Lebel, vers 1750, construisit la maison aujourd’hui dite LEBEL/Langlais. Elle fut en partie détruite par les Anglais en 1759, mais reconstruite l’année suivante. Fière et propre, elle est toujours présente à Kamouraska.

Note:Le président fondateur a visité cette superbe maison en 1993. Les propriétaires, Gérard Langlais et son épouse Rosa Dumais, sont des gens formidables. Malheureusement, Gérard est décédé en mars 1994 à l’âge de 85 ans.

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Le benjamin, Joseph, naquit le 3 juillet 1677. À 24 ans, il trouva l’âme sœur auprès de Marie-Catherine Boutin, fille naturelle de Geneviève Boutin, qu'il épousa le 22 novembre 1701 à Rivière-Ouelle.

Ils eurent une douzaine d’enfants; leur descendance est respectable. Joseph quitta ce monde à l'âge de 70 ans. Il fut inhumé à St-Roch-des-Aulnaies le 6 août 1747. Marie-Catherine lui survécut jusqu’en avril 1756.

Ainsi débuta le bel arbre généalogique des LEBEL d’Amérique.


Les descendants LEBEL se sont multipliés nettement mais sûrement à partir de la région de La Pocatière vers plusieurs provinces canadiennes et même vers de nombreux états américains. Là, quelques-uns portent le nom de famille: Bell, Bel et Labelle.

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Histoire de l'ALA

 

Le 11 décembre 1993, de 13 h à 15 h 30, a eu lieu au Monastère des Rédemptoristes St-Alphonse à Ste-Anne-de-Beaupré, la réunion pour la formation éventuelle d'une association des LEBEL. Des résolutions s'ensuivent pour se solder par la formation de l'Association des LEBEL d'Amérique inc. C’est Gilles LeBel du Lac St-Augustin qui a réussi ce tour de force en réunissant quatorze LEBEL en une journée de verglas, pour fonder l’Association des LEBEL.

Les membres fondateurs sont : Gilles. : président fondateur, Carol. : vice-président, Robert T. : secrétaire, Gilles R. : trésorier, et ceux qui suivent sont directeurs  : Andrée, Fabienne, Frère Romulus, Père Gérard, Réjean, Jean-Paul, Guy, Michel, Eugène et Denis.

Le Père Gérard LeBel C.Ss.R. était notre hôte à cette occasion. Sylvio Héroux de la Fédération québécoise des familles-souches était invité comme personne ressource à la fondation de l'Association.


Les objets et les buts de l'Association des LEBEL d'Amérique inc. sont de:

- grouper en association toute personne, membre ou alliée aux familles LEBEL ou qui s'intéresse à cette famille;

- organiser ou tenir des conférences, réunions, assemblées, expositions pour la promotion, le développement et la vulgarisation de l'histoire, de la généalogie ou toute autre matière touchant les familles LEBEL;

- créer des fonds d'archives LEBEL et encourager toute personne membre ou autre à y déposer tous documents, photos, découpures de journaux, etc. susceptibles d'ajouter à l'histoire de cette famille;

- imprimer, éditer, distribuer toute publication pour fins mentionnées ci-dessus, établir une bibliothèque de publications se rapportant à l'histoire de la famille LEBEL; (Bulletin Le Bel Avis et le dictionnaire des LEBEL)

- Acquérir par l'achat, location ou autrement, posséder et exploiter les biens meubles et immeubles nécessaires aux fins ci-haut mentionnées et fournir aux membres des services de toute nature en relation avec les buts de la corporation;

- pour ces fins, solliciter et recevoir de tout gouvernement, institution, personne physique ou morale, de l'aide financière, privément ou publiquement.

- en cas de liquidation de la corporation ou de distribution des biens de la corporation, ces derniers seront dévolus à une organisation exerçant une activité analogue.

Les règlements de l'Association des LEBEL d'Amérique inc. peuvent être consultés en cliquant ici.


L'association a reçu ses lettres patentes en vertu de la partie III de la Loi sur les compagnies, L.R.Q., c. C-38, portant le numéro 3102-8806, le 14 décembre 1993.

L'adresse du siège social de l'Association est la suivante:
Association des LEBEL d'Amérique inc.
305, rue des Cormorans
Lévis (Québec) G7A 3A2
Canada

Date de l’information : 2010-05-30

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